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Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la sexualité… des aînés

COLLOQUE

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la sexualité… des aînés

26 avril 2013, Hyatt Regency, Montréal

Ce colloque met en lumière et vise sensibiliser aux différentes réalités vécues par les aînés en matière de sexualité.

 

Colloque organisé par l’équipe de recherche en partenariat VIES (Vieillissements, exclusions sociales et solidarités), le Centre de recherche et d’expertise en gérontologie sociale (CREGÉS), en collaboration avec l’Université McGill, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) ainsi que l’Université de Montréal (UdeM).

Chercheur.es responsables : 

Isabelle Wallach, Ph. D., professeure-chercheure au département de sexologie, UQAM.

Shari Brotman, Ph. D., professeure-chercheure au département de travail social, Université McGill.

Norma Gilbert, B. A., coordonnatrice de la pratique de pointe Soutien aux proches aidants du CSSS-Cavendish-CAU.

Anne-Marie Séguin, Ph. D., professeure-chercheure au Centre Urbanisation Culture Société de l’INRS et responsable de l’Équipe de recherche Vieillissements, exclusions sociales et solidarités (VIES).

Tamara Sussman, Ph. D., professeure-chercheure au département de travail social, Université McGill.

Présentation du colloque : 

La sexualité est partout. Elle occupe nos murs, nos écrans, nos magazines, nos discussions. De même, le vieillissement constitue un des thèmes omniprésents de nos médias et de notre société. Pourtant, rares sont les espaces où ces deux thématiques se trouvent réunies. Comme si elles relevaient de deux univers inconciliables, comme s’il fallait faire preuve de pudeur en les éloignant pour ne pas choquer ou effrayer. Certes, il est possible de percevoir un intérêt naissant pour ce sujet, mais dans l’ensemble le constat s’impose : la sexualité des aînés est encore la grande absente des discours et des images. Elle demeure largement ignorée, méconnue, cachée. Loin d’être anodine, cette invisibilité est porteuse de sens et ne peut que nous interpeler. Elle trahit le malaise et le refus de reconnaître un fait pourtant évident : la sexualité ne s’arrête pas après avoir soufflé 60 bougies !